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27 juin 2022

Radiofrance

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Le laboratoire de Karine Adel-Patient est spécialisé dans l’évaluation et la prévention du risque d’allergies provoquées par les aliments.

À l'occasion de la deuxième journée GPN M. Stéphane HAZEBROUCK a fait une intervention sur la thématique du potentiel allergéniques des protéines.

Aujourd’hui, plus de 900 000 cas d’allergie alimentaire sont diagnostiqués chez l’enfant en France. Cette pathologie évoque une réponse immunitaire inappropriée contre des protéines alimentaires au niveau du système immunitaire qui se développe in utéro. Dans ce contexte, et pour comprendre ce dérèglement précoce, Nihel Bekhti, doctorante à l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot du CEA, s’intéresse durant sa thèse à étudier l’effet de certaines expositions de la femme enceinte, telle que son alimentation ou encore son lieu de vie, sur le développement du fœtus et la santé de l’enfant plus tard. Pour étudier l’effet de cette exposition, elle analyse le méconium qui représente les premières matières fécales excrétées par le nouveau-né… Cette vidéo est lauréate du jeu-concours ScienceTube lancé par le CEA

Pourquoi et comment gérer le risque allergénique des aliments

Qui n’a pas dans son entourage une personne allergique à un aliment ? Les allergies alimentaires ne cessent d'augmenter dans les pays occidentaux. Les personnes qui souffrent de cette pathologie voient leur vie altérée, leur entourage en subit les conséquences. Les formes sévères et persistantes sont de plus en plus nombreuses et les jeunes enfants sont les plus touchés. Aujourd’hui, ce désordre immunitaire est devenu un problème de santé publique.